Articles·Thérapies

Face au cancer, relancer les mécanismes d’auto-guérison

▶︎ 2 heures de conférence désormais accessibles librement sur Youtube : 8 repères pour relancer les mécanismes naturels d’auto-guérison, sortir de l’état de choc de l’annonce et revenir vers la santé globale en changeant son mode de vie et de pensée.

Roxana Prenveille est enseignante et coach en développement, elle-même survivante d’un cancer et créatrice du blog Mieuxquavant®

Cette conférence a eu lieu au CESAM (Centre d’Education à la santé des Alpes Maritimes) avec la participation du Dr Michel Lallement, oncologue et auteur de plusieurs ouvrages comme Les clés de l’alimentation santé.

▶︎ Vous découvrirez notamment :

✔️ Le témoignage de guérison de Roxana 5 ans après le diagnostic d’un cancer du sein

✔️ Comment réussir à dépasser le choc de l’« annonce » et devenir progressivement acteur de sa santé

✔️ L’hygiène de vie favorable à la restauration des mécanismes naturels d’auto-guérison résumée en 8 Repères-Santé 

✔️ Le rôle clef de l’auto-sabotage et des bénéfices secondaires de la maladie, et des pistes pour s’en libérer

✔️ Comment une épreuve peut-être transformée en opportunité de construire une plus belle version de soi-même pour être « mieux qu’avant ! »

 

 

Articles·Témoignages de guérison

Delphine, en rémission complète d’un cancer de stade 4b pour son mariage !

Lorsque je demande à Delphine de se présenter, elle répond : « J’ai 45 ans, quatre enfants (un petit gars de 5 ans, une fillette de 8 ans et des jumelles de 12 ans) un mari, trois chats et quatre poules 😋  » La famille, les animaux, la nature…voilà ce qui définit le mieux cette courageuse maman, diagnostiquée d’un cancer alors qu’elle s’apprêtait à mettre au monde son petit dernier et revenue à la vie après son mariage un an et demi plus tard…La famille au complet vit aujourd’hui en région bordelaise où Delphine prend désormais le temps de vivre et de savourer l’instant présent. 

Dans quelles circonstances avez-vous été diagnostiquée ? Qu’avez-vous ressenti ? 

A l’époque de l’annonce de ma maladie, j’étais cadre en région parisienneavec un rythme d’enfer entre le boulot prenant, les enfants et la maison à gérer. Nous n’avions aucune famille ni de vrais amis proches de chez nous, pas de vie en dehors du boulot et de la maison.

En 2013, j’ai perdu ma grand-mère maternelle, un mois après mon grand-père paternel et deux mois plus tard notre voisine de 42 ans, maman de deux petites filles. L’année commençait mal. 

Puis je suis tombée enceinte de mon quatrième enfant.

Cette quatrième grossesse était vraiment une surprise car en 10 ans, nous n’avions jamais réussi à concevoir un enfant sans assistance médicale (ICSI). Nous avions déjà trois enfants, étions cadres tous les deux, débordés et sans famille proche pour nous aider. Et nous voilà avec un bébé surprise… Bonne ou mauvaise surprise…? Nous hésitions.

Nous avons décidé malgré tout de le garder, après deux rendez-vous pour l’avortement. La grossesse s’est plutôt mal passée et je me suis souvent retrouvée aux urgences pour divers problèmes. 

Tout est parti d’un frottis de contrôle. La gynéco, en retraite, me demande de faire une biopsie par courrier suite au frottis, mais de ne pas m’inquiéter. Entre le boulot et la famille à gérer, je suis trop occupée pour y aller. 

En attendant, j’essaie de gérer la grossesse d’un enfant que je ne voulais pas et qui me cause des soucis. 

Entre autres, à 7 mois de grossesse, j’ai attrapé une maladie qui peut causer des malformations au cerveau du bébé.  S’il est contaminé via le placenta, dans le meilleur des cas il sera « juste » sourd, sinon un avortement peut être envisagé. 😰

A 8 mois de grossesse, je fais finalement la biopsie (j’ai un peu de temps, je suis en congés maternité !). La Gynéco qui fait le prélèvement me dit qu’après l’accouchement, il faudra que je m’occupe de moi et que je refasse des examens. « Bien sûr, je n’aurai rien d’autre à faire » pensai-je alors …. Elle savait, mais je n’ai pas compris. Nous sommes en décembre 2013.

Résultat de la biopsie le 24 janvier 2014. Je m’étonne de ne pas avoir les résultats. Je croise un médecin à l’hôpital qui me dit : « On a parlé de votre cas ce matin en réunion. Mais c’est votre Gynéco qui doit vous en parler ». Je ne comprends pas, ou plutôt je ne veux pas comprendre…

Il fait venir ma Gynéco qui m’explique qu’il serait bien que j’accouche le plus rapidement possible et par césarienne pour ne pas abîmer mon col de l’utérus. Mais son discours ne me semble pas clair, je suis obsédée par la césarienne : non je ne veux pas accoucher par césarienne ! Je n’ai pas été « consciente » pour la conception de mon enfant, je veux le mettre au monde. Mon mari « m’engueule » et me demande d’être raisonnable. 

Le lendemain je rappelle, pour confirmer le jour où je suis dispo pour accoucher et je demande : « J’ai un cancer ??? »

« oui ».

Donc le 24 janvier, j’ai un cancer et potentiellement un bébé qui sera sourd et qui nécessitera des soins en plus de mes traitements. 😱😱😱  « Comment va-t-on faire ??? »

Le 27, j’accouche par césarienne d’un enfant dont on attend les résultats du prélèvement de placenta pour savoir s’il a été contaminé ou pas. 

Je ne connais ni la gravité de mon cancer ni l’état de santé mon fils.

Pour relativiser, j’aime bien me dire que ça peut toujours être pire…même si je trouve que cette année-là nous avons été servis, très bien servis. 

Ma description est un peu longue, mais le contexte me semblait important. Alors qu’est-ce que j’ai ressenti, honnêtement je crois que l’accouchement et la santé de mon fils étaient plus importants à ce moment là. Et c’était la continuité d’une année difficile, avec la cerise sur le gâteau !

De plus, nous devions gérer l’annonce de la naissance et l’annonce de mon cancer en même temps donc pas facile, nous n’avions pas le temps… Et c’était tellement décevant que cet événement ne soit pas simplement heureux. 

J’étais persuadée que j’aurai un « petit » stade, une petite opération et hop ce serait fini !

Les médecins ont dû attendre 7 jours après mon accouchement pour pratiquer les premiers examens. Finalement stade 2b, ce serait la grosse artillerie : chimio toutes les semaines, rayons tous les jours puis 3 jours de curiethérapie (radioactivité ).

Et il allait aussi falloir l’annoncer à nos enfants de 3 ans et 7 ans et leur expliquer que ce n’était pas la faute de leur frère.

En un mois, je suis hospitalisée quatre fois après l’accouchement.  

Mais j’ai confiance dans les médecins et les traitements, je suis persuadée que je vais guérir, mon stade ne me semble pas critique, une grippe un peu carabinée c’est tout !

Juillet 2014, traitements finis. Tout va bien, j’ai bien réagi. Plus de traces.

Décembre 2014, les marqueurs remontent. 

27 janvier 2015, mon grand-père maternel meurt pour les 1 an de mon fils. « Y’en a marre, quand est-ce que ça va s’arrêter ?! Qu’est-ce que j’ai fait ??? »

Avril 2015, 3 heures avant de partir en week-end en amoureux, je récupère les résultats du TEP Scan, que j’ouvre dans les toilettes du labo : le cancer s’est déplacé aux poumons. Mes médecins sont en vacances, je reste donc avec ce résultat et ne comprends qu’au bout d’un ou deux jours que le cancer a métastasé et que je suis passée à un stade 4, le plus grave. Ce n’est plus une grippe. J’avais repris mon boulot, je devais arrêter, consacrer le temps qui me restait à mes enfants, à mon mari. Tout s’effondre. Priver mes enfants de maman, ne plus être là la nuit quand ils font un cauchemar, ne pas pouvoir amener mon dernier à la maternelle, plus de vacances en famille, la douleur de mes enfants, de mon mari, de mes parents,  etc.

« La vie va s’arrêter, mais pourquoi ? Qu’est ce que j’ai fait ? »

Je suis dans le couloir de la mort, condamnée, alors que je n’ai rien fait. Aucun avocat ne pourra me sortir de là, tout l’or du monde ne pourrait me sauver et aucune Asso pour plaider ma cause. Et peut être le pire, savoir que je vais mourir mais sans connaître la date. Même les condamnés à mort ont cette chance. Moi pas. Je devrais vivre dans des conditions difficiles (chimio, etc.) avec cette mort qui me suivra et qui pourra à tout moment me tomber dessus. 

Donc non les galères ne s’arrêtent pas encore….ce n’est que le début. Le début de ma nouvelle vie.

Quel protocole vous proposait-on et quels choix thérapeutiques avez vous effectués ?

Cette fois le traitement était un peu différent : 6 mois de chimiothérapie, toutes les semaines « à petites doses » au lieu d’une fois toutes les 3 semaines.

Je ne sais pas encore que j’ai d’autres alternatives, je suis bonne élève, on me dit de faire ça, je fais ça ! 

Quels changements de mode de vie avez-vous entrepris ? 

Premières injections : ça va mal, tout chute et malgré les tentatives des médecins, ça ne remonte pas comme prévu. J’ai l’impression que la fin est encore plus proche que prévue.

IMPOSSIBLE. Je ne peux pas rester à ne rien faire et à attendre que ce cancer me tue. Une amie me passe un tas de livres sur le traitement du cancer par l’alimentation qui semblaient avoir bien marché sur un ami à elle. 

Ça y est j’ai compris. Je lis d’autres livres. Je remets tout mon mode de vie en ordre :

  • Alimentation à base uniquement de fruits / légumes / graines (et un peu de viande)
  • Sport (dès que je me remets des traitements)
  • Acupuncture
  • Suivi psychologique
  • Méditation
  • Elimination du stress, arrêt du travail 

Et pas question de mourir loin de ma famille et de laisser mon homme et mes enfants sans soutien dans cette épreuve. Donc mon mari démissionne et en plein traitement, nous déménageons sur Bordeaux près de nos familles et de nos amis

Mon état de santé ne permet pas de finir la chimio, qui doit être interrompue après seulement 2 mois (au lieu des 6 prévus). On me propose de compléter avec de la radiothérapie. J’ai envie de refuser, je tente, mais finalement j’accepte.

Quels ont été les résultats obtenus ? Depuis combien de temps êtes-vous en rémission ?

Miraculeux : Août 2015, juste avant notre mariage (organisé après 18 ans de vie commune dans la perspective du pire pour protéger mon mari et mes enfants !), après seulement 2 mois de chimio et un rééquilibrage complet de ma vie : plus rien ! Rien de rien ! Je ne crois même pas le radiologue quand il me dit qu’il ne voit plus rien. J’attends confirmation de mon oncologue. Il confirme.

Bientôt 2020, cela fait donc bientôt 5 ans depuis le stade 4b et 6ans depuis le diagnostic initial de cancer. 

Et surtout, je suis en pleine forme, jamais malade. Impossible de savoir que j’ai été malade. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle je ne souhaite pas publier ma photo de face pour cet article : peu de gens connaissent mon histoire, mes enfants voulaient une maman « comme les autres » et donc ne souhaitaient pas que ça se sache. Quant à moi, je souhaite être traitée comme une « valide » et aussi pouvoir laisser les gens raconter leurs malheurs en ma présence sans culpabiliser 😜

En quoi pouvez-vous dire que cette pathologie a joué un rôle positif dans votre existence ?

La maladie m’a ouvert les yeux sur l’essentiel. Ma vie est « mieux qu’avant », elle a un sens ! 

Ma vie d’avant n’avait pas de sens et pourtant sur le papier, j’avais tout : un homme avec qui ça se passait bien, quatre enfants, deux bons boulots, une maison, une famille, des amis. Mais c’était la course continue, le stress du travail qui ne laissait place à rien d’autre, aucun plaisir.

Suite à l’annonce du cancer, j’ai arrêté mon activité de cadre en région parisienne pour me consacrer à ma vie, à l’essentiel, mes enfants, ma famille, mes amis, et nous sommes revenus vivre en région Bordelaise, à nos sources. Nous avons repris une vie sociale, une vie tranquille, libre, pas de stress, beaucoup plus dispo pour les enfants, du temps pour cuisiner, etc. Bref, en vacances tous les jours. Moins de revenus, mais la belle vie !

A quoi consacrez-vous votre vie aujourd’hui ?

Aujourd’hui, je m’épanouis dans des activités qui me procurent du plaisir et dans la recherche du bien-être. Je suis libre de vivre ma vie à mon rythme.

J’essaie de transmettre à mes enfants tout ce que j’ai appris grâce à la maladie, quelles sont les choses importantes et les choses futiles, ce qui est important pour trouver le bonheur. 

J’ai des projets, je regarde la vie autrement. Elle est là, je suis là pour en profiter, et même quand mes enfants me mettent hors de moi, je me dis que j’ai de la chance de pouvoir « profiter de ce moment » 😅. 

Quel(s) conseil(s) donneriez-vous à une personne actuellement confrontée à un cancer de stade avancé ?

J’ai souhaité témoigner car quand j’ai appris que j’étais passée au stade 4b de mon cancer du col de l’utérus, j’ai cherché des témoignages et j’en ai peu trouvé, mais ceux que j’ai trouvés m’ont donné espoir. Et l’espoir fait vivre.

Donc, si à mon tour aujourd’hui je peux aider des malades (ou leurs aidants) a avoir espoir, je serai ravie.

Il me semble important de reconnaître d’abord que ce n’est pas une fatalité (dans certains cas) et qu’on peut agir. Nos conditions de vie aujourd’hui sont de multiples causes de déclenchement.

La peur a été ma meilleure alliée, alors que je la croyais mon ennemie (merci mon psy😉). Elle a été le moteur de ce changement radical de vie.

Il faut y croire, se battre car de toute façon on n’a plus grand chose à perdre, à part une chance de gagner ! 

PS : mon fils va très bien et je l’aime très fort. 

Merci à Delphine pour avoir eu le courage et la générosité de me contacter spontanément pour partager cette histoire unique, à la fois tellement douloureuse et si inspirante, simplement pour donner espoir à d’autres, à toutes ces personnes qui passent peut-être aujourd’hui par les moments les plus difficiles de leur parcours de retour vers la santé et qui, grâce à Delphine et à tous les autres, trouveront peut-être la force de supporter les traitements et les souffrances, avec la certitude confiante qu’une lumière existe au bout du chemin, qu’un « après » est possible, et que cet « après » peut même être « mieuxquavant »…🙏 🌟

💌En cas de nécessité (et sans abuser afin de respecter son intimité et sa tranquillité), vous pouvez entrer en contact avec Delphine par email en cliquant sur le lien suivant : envoyer un email

⚠️ Les témoignages de cette rubrique relatent des expériences personnelles. Il s’agit d’interviews réalisées « sur parole » et ne donnant bien évidemment lieu à aucune vérification de données d’ordre médical. C’est la raison pour laquelle je demande aux personnes qui témoignent de fournir une adresse email de contact qui est publiée en fin d’article. Ces témoignages ne doivent aucun cas être pris comme exemple sans un avis et un suivi médical, chaque cas étant différent. Le but de ce blog est de partager des informations et des expériences et surtout de DONNER ESPOIR. Chacun reste bien évidemment responsable de l’interprétation et de l’usage qu’il en fait. Vos témoignages sont les bienvenus.

 

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5 ans depuis mon diagnostic initial ! 😊

Comme vous le savez puisque vous suivez ce blog, je suis convaincue que la santé est avant tout un état de bien-être intérieur, qui se manifeste ensuite à l’extérieur. Les soins reçus permettent la rémission, mais la guérison suppose une implication personnelle, une remise en cause profonde de sa propre « posture », autrement dit, des changements de mode de vie et de pensée permettant d’agir sur les causes de la maladie (ce que les anglo-saxons appellent la « lifestyle medicine »).

Pour guérir du cancer, il est impératif de « débrayer le moteur du cancer », pour utiliser l’expression du Dr Caterine Kousmine.

Ce sont ces petits changements quotidiens, ces nouvelles routines santé appliquées, « vécues » jour après jour, qui m’ont permis de retrouver le chemin du bien-être physique et mental et qui font que je me considère depuis un bon bout de temps comme « guérie », même si la médecine officielle n’emploierait pas forcément ce terme…

D’un point de vue strictement médical, la guérison d’un cancer est définie par le temps. On parle de rémission lorsqu’il n’y a plus aucune trace de cancer une fois les traitements terminés. Quant à la guérison, c’est une rémission qui dure et un cancer qui ne récidive pas. On ne peut déclarer une personne officiellement guérie que lorsque se sont écoulées un certain nombre d’années sans récidive (variable selon les pathologies en fonction des cas de récidive observés). Par exemple pour certains cas de cancer du sein, il a été observé des récidives après 27 ans ; on ne peur donc utiliser le mot « guérison » qu’après…27 ans 😂

Le seuil des 5 ans reste cependant la barre officiellement fixée, à partir duquel la rémission est considérée comme consolidée, ou complète, et les médecins sont autorisés à employer (avec prudence) le mot « guérison », pour aider le patient à revenir vers un état confiant et positif, nécessaire au maintien d’une bonne immunité. C’est pourquoi les statistiques se basent sur le fameux « taux de survie à 5 ans ».

Bref, pour en revenir à mon cas, franchir ce seuil des 5 ans représente tout de même une étape importante, que je souhaite marquer en organisant une conférence gratuite de 2 heures, suivie de « questions-réponses » pour partager mon témoignage de « guérison » ainsi que les pistes qui m’ont été les plus utiles sur le chemin du retour vers la santé globale.

Cet événement est co-organisé par le CESAM (Centre d’Education à la Santé des Alpes Maritimes) et se déroulera en présence du Dr Michel Lallement, oncologue et auteur de plusieurs ouvrages, qui a joué un rôle déterminant dans mon parcours et qui répondra aux questions des participants.


lallement, poche, les clefs alimentation

 Il aura lieu à CANNES, le mardi 10 décembre à 18 heures. 

Nous avons tenu à ce que cette conférence soit GRATUITE pour que toutes les personnes qui en ont besoin puissent participer. Cependant, le nombre de places étant limité, il est nécessaire de réserver à l’avance sur le site eventbrite

Merci de nous aider à promouvoir cet événement en faisant suivre cette information aux patients, accompagnants, professionnels de la santé, etc.

Agenda·Articles

Atelier-conférence à Antibes le 11 mai 2019

Bonjour à tous !

Je vous propose de nous retrouver le 11 mai prochain à Antibes, au Centre des Thérapies pour le premier Atelier-conférence Mieuxquavant® sur le thème :

 Restaurer et préserver sa santé globale en 8 repères

Je partagerai avec vous les gestes simples et gratuits à intégrer en autonomie à sa routine quotidienne pour créer les conditions d’une profonde régénération cellulaire.

Roxana Prenveille Saint-Jean Cap Ferrat

Ce que vous découvrirez lors de cette matinée :

▶︎ Mon propre témoignage de guérison d’un cancer du sein sans mastectomie

▶︎Pourquoi la vision symptomatique de la médecine occidentale est inefficace pour soigner les causes des maladies « de civilisation » et pourquoi il est urgent pour chacun d’entre nous de devenir acteur et responsable de sa santé

▶︎ L’hygiène de vie favorable à la restauration des mécanismes naturels d’auto-guérison résumée en 8 repères fondamentaux interconnectés

▶︎Le rôle clef des sources d’auto-sabotage et des blocages et les erreurs à ne pas commettre

▶︎ Comment transformer une épreuve en occasion de construire une plus belle version de soi-même

▶︎ Des pistes pour élaborer son propre plan d’action, commencer DES MAINTENANT et entretenir naturellement sa motivation.

Cet atelier-conférence s’adresse aux personnes : 

✔︎ Engagées dans un parcours de guérison
✔︎ Voulant restaurer leur terrain après les soins pour éviter la récidive
✔︎ Voulant agir pour leur santé à titre préventif : gagner en énergie, fluidité et vitalité

Atelier-conférence Mieuxquavant La santé globale en 8 repères


Organisation

Logo CTA

 

 

Samedi 11 mai 2019 
10 h – 12 h 
Au Centre des Thérapies d’Antibes

 

Formatrice :
Roxana Prenveille
du blog www.mieuxquavant.com
Enseignante, coach personnel santé bien-être (Harmonie Coaching)
Auteur de Mon cancer m’a guérie, Actrice de ma santé

Participation : 30 €

(tarif réduit adhérents CTN et clients Harmonie Coaching 25 €)

Renseignements : 
– CTA 04 93 67 04 01
– Harmonie Coaching 06 16 39 33 10

👉 Pour réserver votre place, remplissez le formulaire ci-dessous (places limitées).

Télécharger l’affiche de l’événement en pdf

alimentation santé·Articles

Interview de Marie-Sophie L : Réconcilier santé et volupté

« La rawfood a changé ma vie… et j’ai changé ma vie pour elle ! »

Naturawchef formée dans les plus prestigieuses écoles de cuisine crue de Californie et également naturopathe depuis 30 ans, Marie-Sophie L se consacre aujourd’hui à explorer et à enseigner l’alimentation vivante (végétale et sans cuisson) tant auprès des jeunes chefs que du grand public désireux de prendre soin de sa santé sans renoncer pour autant au plaisir d’une cuisine gourmande.

Voudriez-vous nous expliquer comment vous avez été « impérieusement et instinctivement attirée par la nourriture crue, fraîche, vivante et vibrante ! » avant même d’en comprendre la pertinence et les bienfaits d’un point de vue intellectuel ? 

Après un long jeûne qui m’a permis de remettre les compteur à zéro et d’être à l’écoute des besoins de mon organisme, j’ai ressenti comme une évidence la nécessité de me nourrir essentiellement de fruits, de légumes, de graines, de noix, d’algues… de végétal frais, brut… et cru ! La rawfood a changé ma vie… et j’ai changé ma vie pour elle ! Je lui consacre tout mon temps et ma créativité…. avec bonheur !

Naturopathe depuis 30 ans, vous aviez déjà une alimentation saine, biologique, faite « maison » et essentiellement végétale. Pouvez-vous nous dire ce que l’alimentation crue – la raw food – vous a apporté de plus en termes de vitalité et de bien-être ? 

Je regrette de n’avoir connu l’alimentation crue à l’époque où je nourrissais mes enfants ! J’aurais pu faire bien mieux ! La rawfood telle que je la mets en équation m‘apporte une énergie décuplée, une plus grande récupération à l’effort, une acuité intellectuelle et une joie de vivre incomparable. C’est ce dont témoignent tous ceux qui suivent mes formations en ligne et  je rends grâce pour cela. 

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En quoi l’alimentation vivante, telle que vous la décrivez dans votre dernier livre L’alimentation crue, participe-t-elle d’une démarche globale d’ouverture du coeur et de connexion (à soi, à la nature, au vivant sous toutes ses formes) favorable à la restauration de la santé globale ? 

Ma cuisine crue et gourmande est naturellement détoxifiante et anti-inflammatoire. Elle participe indéniablement à une ouverture de coeur et une joie de vivre. Je l’expérimente tous les jours sans savoir pourquoi exactement. Je le vis, l’enseigne mais ne l’explique pas. C’est ainsi.

Vous vous consacrez aujourd’hui à composer et à enseigner une gatrawnomie harmonieuse, simple et gourmande, réconciliant avec virtuosité en une démarche à la fois authentique et bienveillante, les notions de santé et de plaisir. Peut-on parler de « mission de vie » ? 

Oui. Je n’ai pas véritablement choisi. C’est le propre d’une passion, nourrissante, mais aussi dévorante. Je me sens appelée par le désir, la volupté de créer des recettes et de jouer avec cette rawfood. C’est comme une histoire d’amour… j’ai une relation intime, amoureuse avec ma cuisine.

Quels conseils auriez-vous à coeur de donner, avec la souplesse et l’humilité qui vous caractérisent, à une personne actuellement engagée dans un parcours de retour vers la santé ? 

Invitez de plus en plus d’ingrédients végétaux dans votre assiette, sans dogmatisme, avec pour seul guide la gourmandise pure et le plaisir de vous nourrir sainement. Inspirez-vous d’excellentes recettes – les miennes 😉 – il y a déjà trop de « copié-collé » sur le net qui dénature et maltraite la merveilleuse grammaire culinaire qu’est la cuisine crue. Et aussi, mangez dans le calme, la gratitude. Manger dans le stress nous prive de près de 80% des bénéfices nutritionnels de notre nourriture… si crue et parfaite qu’elle soit. Se nourrir l’esprit apaisé est essentiel. Il suffit parfois de quelques respirations profondes et conscientes pour « redescendre » , se recentrer et calmer le jeu, euh… surtout le « je » 😉

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L’histoire de cette interview :

Je remercie Marie-Sophie d’avoir d’avoir répondu à mes questions avec tant de gentillesse et de générosité. Je n’ai découvert son merveilleux travail de Rawchef que très récemment. Pour moi, elle était restée la sublime actrice associée à l’univers fascinant des films de Claude Lelouch qui ont profondément marqué ma jeunesse. Voici comment je suis arrivée naturellement jusqu’à elle :

Il se trouve que j’ai récemment découvert sur Youtube la vidéo de Sylvette Lumière, une personne extraordinaire, guérie d’un cancer classé en stade IV grâce à l’alimentation vivante. Interpellée par son parcours, je l’ai contactée pour une interview (disponible sur ce blog) puis nous avons passé quelques jours ensemble à Cannes, qui nous ont permis de nouer des liens d’amitié. C’est elle qui m’a fait découvrir le travail de Marie-Sophie et m’a vivement recommandé son livre L’instant cru, que j’ai immédiatement commandé.

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Moi qui n’ai jamais été particulièrement douée – ni motivée d’ailleurs ! – pour la cuisine 😊 j’ai eu plaisir à me lancer immédiatement dans quelques-unes des recettes simples et alléchantes proposées dans ce bel ouvrage – presque autant un livre d’art qu’un livre de cuisine ! –  qui m’ont permis de surprendre ma famille, et surtout de me surprendre moi-même, tant c’était délicieux…!

A peine quelques jours plus tard, j’apprends que Marie-Sophie donne une conférence à deux pas de chez moi. Je m’y rends accompagnée par mon mari, et nous découvrons – au-delà de la raw chef brillante que nous nous attendions à rencontrer – une personnalité rayonnantevibrante, drôle, inspirée et inspirante, qui enseigne par ce qu’elle fait mais aussi et surtout par ce qu’elle est !

Guidée par mon intuition, je la contacte par email dans les jours qui suivent pour une interview. Marie-Sophie me surprend encore par l’intérêt qu’elle témoigne au blog, par sa simplicité, sa disponibilité et l’indulgence dont elle fait preuve face à mes questions maladroites et mon approche « artisanale ».

Aujourd’hui je suis très heureuse et joyeuse 🤗 de pouvoir partager ma découverte sur le blog Mieuxquavant ! La plupart des personnes qui sollicitent mon accompagnement pour reprendre leur santé en main associent l’alimentation santé à une sorte d’austérité gustative à laquelle il faudrait sagement se résigner. Combien de fois m’a-t-on demandé après mon cancer si j’allais bientôt pouvoir remanger « comme avant »… Difficile pour la plupart des gens de comprendre à quel point l’alimentation vivante est source de joie et de bien-être. Aujourd’hui, ce serait plutôt le fait de manger « comme avant » qui représenterait pour moi un effort et une contrainte. Marie-Sophie L nous fournit de précieux outils pour démontrer qu’il est possible de réconcilier santé et volupté. Ses recettes, qui n’engagent que des aliments crus et sains, n’ont rien à envier d’un point de vue gastronomique aux plus grandes tables ! C’est beau, c’est bon et ça fait du bien ! 😋

logo l'instant cru

👉 Vous pouvez retrouver les formations en ligne  de Marie-Sophie L sur le site linstantcru.com

Ces formations de grande qualité permettent d’avoir l’essence de son travail en vidéo et de bénéficier d’un accompagnement en ligne car elle répond personnellement à toutes les questions posées par les élèves au fil de la formation.

Voici à titre indicatif quelques unes de mes modestes réalisations personnelles à partir des recettes toutes simples de Marie-Sophie L (je rappelle que je suis archi nulle en cuisine… 😂)

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Spaghettis de courgettes à la sauce napolitaine (sans gluten, sans oeufs, sans laitages, sans graisse animale, sans cuisson…)
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Cheesecake aux framboises (sans produits laitiers, sans farine, sans oeufs, sans cuisson…)

Copie de hugs

 

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Articles·Témoignages de guérison

Le témoignage d’espoir de Marie-Christine, 19 ans après son cancer du sein

Bonjour Marie-Christine, voudriez-vous vous présenter brièvement ? 

J’ai 73 ans, je suis mariée, mère de trois garçons et grand-mère de sept adorables petits enfants. Ancienne chef d’entreprise, j‘habite dans le Sud de la France à coté de Nîmes et je continue à être active à mi-temps dans le domaine de la nutrition. 

Dans quelles circonstances avez-vous été diagnostiquée ? Qu’avez-vous ressenti ? 

J’ai appris que j’avais un cancer du sein droit en 1999 suite à une mammographie qui a détecté des micro-calcifications .

L’annonce de ce cancer intracanalaire, même s’il n’était pas invasif, a été un choc violent. En sortant de chez le médecin je me suis assise dans un fauteuil et suis restée prostrée pendant plus de 20 minutes, assommée par cette nouvelle avec une impression de tomber dans un trou noir avec la mort au bout.

Quel protocole vous proposait-on ? 

J’ai consulté une bonne dizaine de médecins en région Parisienne, où j‘habitais à l’époque, qui tous me parlaient de radiothérapie. Heureusement il n’était pas nécessaire de faire de la chimiothérapie ni d’ablation de la chaine ganglionnaire. J’ai posé beaucoup de questions au point d’agacer un médecin qui ne comprenait pas comment je pouvais remettre en cause son protocole suite à dix ans d’études de médecine. Je lui ai répondu que c’était de ma peau et non de la sienne qu’il s’agissait et que j’allais prendre ma décision toute seule. 

Quels choix thérapeutiques avez vous effectués et quels ont été les résultats obtenus ?

J’ai écouté « ma petite voix » qui me disait de ne pas faire de radiothérapie, car à l’époque elle était moins bien ciblée et ils irradiaient largement !!!

Il me restait donc la chirurgie et après une première intervention, on m’a fait une mastectomie avec reconstruction immédiate.

Après mon intervention chirurgicale, un ami m’a parlé de l’Institut Hippocrate en Floride, un centre de santé qui propose une cure de « Détox – Vitalité ». Il s’agit d’éliminer les toxines de l’organisme grâce à une alimentation Vivante et végétale pour renforcer nos défenses immunitaires et régénérer nos cellules.

J’y ai passé trois semaines en janvier 2000 et j’ai été impressionnée par les résultats que je voyais autour de moi pour de nombreux problèmes de santé et tout particulièrement les problèmes de polyarthrite, cancers et maladies auto-immunes. J’ai appris énormément de choses sur la santé naturelle, les causes des maladies et la façon de se soigner naturellement.  Je suis revenue très en forme persuadée que ce séjour avait été la meilleure décision pour moi malgré son coût.

Aujourd’hui, vu la polémique sur les prothèses, je me suis fait enlever la prothèse au silicone que j’avais depuis plus de dix ans car mon corps ne la supportait plus. Et après avoir écouté les conseils du directeur de l’Institut Hippocrate qui ne recommande pas d’en remettre compte tenu des risques d’inflammation ou de lymphome que cela peut entrainer, j’envisage de faire remplir le sein avec ma propre graisse ou de laisser comme tel à l’image des Amazones de l’antiquité.

Depuis combien de temps êtes-vous en rémission ?

Depuis 19 ans, mais je sais que tout peut repartir à tout moment et je pratique une alimentation vivante à 60% et lorsque je cuis mes aliments je le fais à vapeur douce. C’est incroyable de voir comment le corps répond d’une façon positive à cet apport de nutriments à haute vitalité, bourrés d’oxygène et de chlorophylle qui empêchent les cellules cancéreuses de se développer.

C’est comme si chacune de nos cellules dansait de joie et retrouvait énergie et vitalité.

En quoi pouvez-vous dire que ce cancer a joué un rôle positif dans votre existence ?

Ce cancer a été un déclencheur qui m’a forcée à analyser les faits, comprendre pourquoi et changer de style de vie et d’alimentation. J’ai aussi compris que l’on pouvait devenir acteur de sa santé en faisant le choix d’une médecine la plus naturelle possible.

A quoi consacrez-vous votre vie aujourd’hui ? 

Depuis mon séjour à l’institut Hippocrate, je m’emploie à faire passer cette information au maximum de personnes malades autour de moi et à parler de prévention aux personnes bien portantes. J’organise depuis plus de 20 ans des séjours individuels et de groupe à l’Institut Hippocrate de Floride et à l’Institut Ann Wigmore de Porto Rico,  ainsi que des séjours « détox-Vitalité » chez moi dans le Midi (à coté de Nîmes) avec une naturopathe formée à L’Institut Hippocrate et à l’école de « crusine » Living Light de Californie. Je conseille aussi des compléments alimentaires à base d’algue bleu-vert du Lac Klamath dans l’Oregon.  

Quel(s) conseil(s) donneriez-vous à une personne actuellement confrontée au cancer ?

✔️ Analyser toutes les solutions proposée par la médecine traditionnelle et les effets secondaires induits par les traitements .

✔️ Consulter un bon naturopathe qui saura proposer des solutions naturelles à la place ou en plus des traitements médicaux. 

✔️ Ecouter son corps, avoir confiance en son pouvoir de régénération en lui apportant  une alimentation vivante et végétale au moins pendant un an (éliminer le sucre et les produits laitiers et animaux qui nourrissent les cellules cancéreuses) et prendre sa décision en fonction de tous ces éléments .

✔️ Avoir un mental fort, des pensées positives et pratiquer le jeûne et la méditation.

✔️ Participer à des cercles de parole car on y rencontre des personnes très positives qui se sont sorties de situations très difficiles .

👉 Vous pouvez en savoir plus sur les stages proposés par Marie-Christine Lhermitte sur son site : www.mcl-nutrition.com

🙏 Merci Marie-Christine pour ce témoignage encourageant, qui montre une fois de plus que le fait de devenir actrice de sa santé, à travers une approche globale et des changements profonds de mode de vie, est essentiel pour maintenir son immunité après les soins et éviter la récidive. Je n’ai pas testé personnellement les stages que vous proposez, mais on m’en a dit beaucoup de bien, et c’est pourquoi je publie en toute confiance le lien vers votre site. En ce qui concerne les compléments que vous commercialisez, mon opinion est plus réservée et je vous laisse le soin de compléter l’information auprès des lectrices qui viendraient librement vers vous à ce sujet. 

⚠️ Les témoignages de cette rubrique relatent des expériences personnelles. Il s’agit d’interviews réalisées « sur parole » et ne donnant bien évidemment lieu à aucune vérification de données d’ordre médical. C’est la raison pour laquelle je demande aux personnes qui témoignent de fournir une adresse email de contact qui est publiée en fin d’article. Ces témoignages ne doivent aucun cas être pris comme exemple sans un avis et un suivi médical, chaque cas étant différent. Le but de ce blog est de partager des informations et des expériences et surtout de DONNER ESPOIR. Chacun reste bien évidemment responsable de l’interprétation et de l’usage qu’il en fait.  Vos témoignages sont les bienvenus.

Articles·Méditation

Méditation guidée : Loi de l’attraction

😇 J’ai enregistré cette méditation guidée gratuite pour aider les personnes que j’accompagne  à se libérer d’un état problématique et à le remplacer par une « nouvelle réalité », une expérience choisie en conscience.

Je partage ici quelque chose de très intime, que je pratique au quotidien sur moi-même et qui m’a permis – parallèlement au changement global de mode de vie – de revenir vers la santé mais aussi de mieux préciser et atteindre mes objectifs dans de nombreux autres domaines.

Cette méditation puissante est issue d’une synthèse personnelle entre :

✔️ La relaxation
✔️ La méditation de pleine conscience
✔️ La guérison quantique
✔️ La loi de l’attraction
✔️ La prière de gratitude.

En 22 minutes, vous serez guidée pas à pas vers un niveau de conscience élargi propice à la matérialisation de la nouvelle version de vous-même dont vous souhaitez faire l’expérience.

Avant de commencer, il est recommandé de prendre un moment pour identifier la problématique à dépasser et formuler clairement son  intention en termes positifs.

👉 Par exemple choisir la santé (positif) sera plus efficace que choisir de « guérir du cancer » (négatif).

Pourquoi ?

😡 Car notre inconscient – tout comme l’univers – ne perçoit pas la forme négative. En nous focalisant sur la lutte contre la « maladie » nous lui apportons notre énergie mentale et créons des conditions favorables pour matérialiser davantage de cette maladie.

🌱 Au contraire si notre objectif est « plus » de santé, nous sous-entendons que nous avons déjà un peu de santé. Nous émettons ainsi sur la fréquence vibratoire de la santé et lui permettons de croître 📡

👉  Mieux qu’avant après un cancer !

« Je viens de finir ma première méditation…Quel bonheur Roxana, j’ai même pleuré de joie ! La visualisation c’était une pure merveille de bonheur et de santé globale, et réalisation !!! Je n’ai pas de mots pour te remercier, c’est ma pleine santé qui le fera !!! » Veronica, Cannes.

« Chère Roxana, votre site est une pure merveille. Chaque matin je me ressource en écoutant votre vidéo sur l’équilibre du mental et du corps (…) Je vous remercie de nous aider et de faire passer le message de l’amour de soi et de la gratitude. La vie est tellement belle !! Il faut y croire ! » Dominique, Monaco.

Le coaching individuel

Articles·Psychologie positive

Et en plus il faudrait « positiver »…?!

Promis depuis longtemps sur le blog, voici enfin un article consacré à la gestion émotionnelle ! 

Pour l’avoir moi-même vécu, je peux dire qu’un diagnostic de cancer est une sorte de cataclysme. En l’espace des quelques jours qui séparent la détection anxieuse des premiers symptômes de l’annonce officielle de la maladie, on voit voler en éclats tout ce que l’on croyait stable dans son existence.

« Cancer » est un mot qui fait peur et tombe comme un couperet pour bouleverser du jour au lendemain nos illusions d’immortalité et de stabilité.

L’annonce nous confronte violemment à notre peur de la mort, mais le pire, je crois, c’est cette atroce sensation de solitude, et ce, même lorsque l’on est aimée et entourée comme cela a été le cas pour moi.

SEULE. Seule dans son corps, seule dans sa tête, seule avec ce sentiment d’étrangeté. « Différente » désormais des autres pour lesquels tout semble plus ou moins continuer « comme avant » : ils vaquent à leurs occupations, se préoccupent toujours des mêmes choses qui nous préoccupaient encore hier et qui tout à coup nous paraissent tellement lointaines et dérisoires. « J’ai un cancer ». Et cela me semble impossible en fait, si peu réel… et pourtant, des mots ont bien été prononcés, un diagnostic clairement posé : « Vous avez un cancer ». 

😨 Peur, panique, révolte, colère, sentiment d’impuissance, d’injustice, tristesse, angoisse, une foule d’émotions se succèdent et nous submergent. 

Mais il faut faire face, se recentrer, protéger les siens, faire bonne figure, prendre des décisions, et surtout ne rien faire qui puisse aggraver les choses, et notamment faire chuter l’immunité.

Nous savons tous aujourd’hui que les émotions désagréables (colère, tristesse, peur, angoisse…) sont associées à des sécrétions hormonales (cortisol, adrénaline) qui dépriment le système immunitaire et constituent le terreau des maladies dégénératives. En envoyant à nos cellules le message que la vie ne vaut plus la peine d’être vécue, elles déclenchent des processus d’autodestruction. 

Les émotions agréables (joie, amour, paix, gratitude…) informent quant à elles nos cellules de notre désir de vivre et s’accompagnent de sécrétions hormonales (dopamine, endorphine, sérotonine, ocytocine) favorables aux processus de réparation et d’auto-guérison.

Nous sommes donc seules et effondrées, mais dans le même temps nous savons (et au cas où nous l’aurons temporairement oublié il se trouve toujours une âme charitable pour nous le rappeler 😂), que nous ne devons surtout pas avoir peur ou nous laisser aller à la déprime, au risque de faire chuter notre immunité et de favoriser la prolifération des cellules cancéreuses. Au contraire nous devons tout faire pour cultiver des émotions « supérieures » bonnes pour la santé. Et le diktat du bonheur ambiant n’arrange en rien les choses ! Souffrir sans garder le sourire serait de très mauvais goût…😂

😩 Mais c’est juste horrible !!! en réalité, car le fait de savoir qu’on doit positiver alors même qu’on ne peut pas faire autrement que d’être anxieuse et triste, alimente encore plus l’anxiété. Comble du comble : on finit pas se sentir coupable de ses émotions « négatives », coupable de ne pas réussir à être joyeuse, confiante et positive !

Je pense que ce conflit entre ce que l’on ressent et la culpabilité de le ressentir contribue à nous épuiser psychiquement et physiquement. 

👉 Alors que faire ? Comment gérer au mieux ses émotions dans un sens à la fois favorable à la santé et respectueux de ce que nous sommes et de ce que nous vivons. 

Une émotion – qu’elle soit agréable ou non – est une énergie qui nous traverse ⚡️ et nous signale si nos besoins essentiels sont plus ou moins satisfaits 💚 ou au contraire menacés  ⚠️

Il y a trois manières d’aborder une émotion désagréable :

✔️  SE LAISSER EMBARQUER par elle et réagir impulsivement d’une manière déraisonnée qui va souvent à l’encontre de notre propre intérêt.

✔️  RESISTER en mettant un couvercle sur ce que nous ressentons, créant ainsi un blocage énergétique. On s’épuise à lutter contre une partie de soi-même, dans un processus contre-productif de poussée et de contre-poussée qui risque de provoquer une violente dé-pression ou des troubles de santé divers.

✔️  ACCUEILLIR et observer l’émotion sans jugement ni culpabilité pour la laisser nous passer au travers. Contrairement à ce que notre éducation et les conditionnements sociaux nous ont porté à croire (« il faut être fort »), nous avons tout à fait le droit d’avoir peur, d’éprouver de la colère ou de nous sentir faibles : tout cela est 🆗

Accueillir et assumer sa vulnérabilité est le meilleur moyen de ne pas en être victime !

Concrètement, face à une émotion désagréable nous pouvons :

✅ Commencer par l’observer, l’identifier, la nommer

✅ Puis s’autoriser à la ressentir sans culpabiliser

✅ Reconnaitre son intention positive, son utilité

✅ Et enfin la remercier et la libérer

Le secret du bien-être : Libérer ses émotions mais maîtriser ses pensées !

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La MÉDITATION dite de pleine conscience est l’outil le plus efficace pour apprendre à gérer naturellement et sans effort ses émotions. 

Elle permet de se connecter à sa propre Source 💟 dans l’instant présent et dans l’accueil de ce qui « est » et de ce que l’on est, sans jugement, en lâchant prise du mental, des ruminations stériles centrées sur les regrets du passé et sur l’anticipation anxieuse de l’avenir, en dehors de toute forme d’intention et/ou d’obligation de « résultat ».

On reste juste assis là (just sitting), observateur de ses émotions, de ses pensées, de son souffle, des bruits, des sensations…

Cette posture est propice à une circulation énergétique fluide, à la LIBÉRATION des blocages et à la paix avec soi-même. Elle permet à l’élan vital de faire ce qu’il a à faire, naturellement et en l’absence de contrôle, pour réparer et GUERIR.

Après quelques semaines de méditation de pleine conscience (20 minutes par jour) :

  • Les régions du cerveau associées à l’optimisme et à la joie sont plus actives
  • Le système immunitaire est plus réactif (globules blancs et les cellules NK plus performants)
  • Le stress diminue et l’aptitude à gérer les « chocs émotionnels » renforcée
  • Le sommeil est de meilleure qualité
  • La concentration et les performances s’améliorent
  • Le vieillissement est ralenti en freinant l’usure des télomères (extrémités des chromosomes qui s’érodent au fur et à mesure des processus de division cellulaire responsables de l’oxydation).
  • Le niveau de conscience est élargi (pendant la méditation, l’amplitude de l’oscillation des rythmes cérébraux augmente), ce qui permet de développer l’intuition et inspiration, y compris durant le reste de nos activités quotidiennes.
  • Le sentiment de complétude augmente : le bien-être nous vient de l’intérieur et non des autres ou des circonstances extérieures et la sensation de solitude disparaît. 

Progressivement et à force de pratique régulière, vous serez naturellement libérée de la peur, et ce, alors même que vous n’aurez pas cherché à lutter pour vous en libérer. 

C’est en acceptant sa peur qu’on se libère de la peur. Lutter contre elle, et contre toute autre émotion prétendument « négative » contribue en fait à la renforcer. 

La méditation de pleine conscience nous enseigne une posture d’accueil et d’acceptation sans jugement qui est source de libération et de guérison. 

Il est possible de pratiquer en autonomie, guidé par une bande sonore au début.

😇 La méditation a changé ma vie. Elle m’a accompagnée tout au long de mon parcours de guérison et m’aide encore chaque jour à aborder avec force et souplesse la permanente évolution des choses et des êtres qui définit la vie. 

Je partage ici le support qui m’a été le plus utile dans ma pratique méditative, le merveilleux livre de Christophe André : Méditer Jour après jour. 

Cet ouvrage continent un CD avec des séances de méditation guidée qui nous accompagnent progressivement vers la pleine conscience. C’est extrêmement bien fait et efficace ! 

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👉  Méditez gratuitement avec moi : 

Articles·Famille·Thérapies

Pour le pire…et le meilleur : la parole au conjoint accompagnant

J’ai rencontré ma femme, « ma perle d’étoile », en 2011, il y a presque 8 ans. Cela a été un vrai coup de foudre, l’amour de ma vie. Nous nous sommes mariés en 2013 et avions le désir d’avoir un enfant, malgré un diagnostic d’insuffisance ovarienne profonde. Nous avons « aidé » en ce sens, et n’aurions pas dû le faire. Ma femme m’est très précieuse et elle est aussi très fragile : la fausse couche l’a anéantie… La conviction d’un magnifique heureux évènement à venir dans 7 mois s’est transformée en cataclysme. En 2014, le monde s’est effondré sous nos pieds : coup sur coup, deux ou trois millimètres de coeur qui ne bat plus, puis le cancer du sein, 3 mois plus tard, m’ont mis KO…

Mais je suis son homme, je l’aime, je me devais d’être fort, de surmonter ma propre peur et mes angoisses. Je me devais de lui dire : « je suis sûr que tu ne vas pas mourir ». Et c’était incroyablement dur, parce que je n’avais aucune solution à lui apporter. A l’époque je n’avais aucune connaissance en matière de santé. Je savais juste que je ne savais rien… Alors j’écoutais, je cherchais, je l’accompagnais, je lisais, j’essayais de l’aider du mieux possible.

Nous les hommes, avons besoin de nous sentir utiles, c’est très dur d’être confronté à la souffrance et au mal-être dans l’impuissance. Cela nous aide beaucoup que l’on nous donne des taches précises par lesquelles nous pouvons aider et nous sentir efficaces. Ca me faisait du bien de lui acheter ses légumes bio, lui préparer ses jus, l’accompagner à tous les rendez-vous médicaux, lui commander des pilules Beljanski, jeûner avec elle avant les séances de chimiothérapie, travailler à terminer les travaux de notre maison pour qu’elle se sente bien, la retrouver chaque midi pour déjeuner ensemble et marcher en forêt comme nous le faisons toujours…

Mais au fond je crois que ce dont elle avait le plus besoin, c’était juste que je reste là près d’elle, sans rien faire, juste lui tenir la main et lui montrer que je l’aimais sans cheveux, sans cils… Etre là pour elle. Elle pouvait compter sur moi pour être encore et encore, là, à ses cotés.

Les jours suivant les séances de chimiothérapie ont été les plus difficiles, voir la femme qu’on aime affaiblie, épuisée, en pleurs parfois juste parce qu’elle ne sait pas quoi faire de son corps, d’elle-même, et qu’on est là, impuissant, à côté d’elle. On voudrait juste que tout ça s’arrête, ne plus avoir à l’accompagner à ces séances censées la guérir et qui semblent la détruire. Et pourtant il faut continuer à la motiver, pour lui donner la force, à elle, d’endurer tout cela et même de l’envisager positivement pour optimiser l’efficacité des traitements.

Notre amour m’a donné la force de tenir et d’avancer. Et aussi sa détermination à elle, sa confiance en cette santé qu’elle était en train de reconstruire pas à pas, grâce à une approche globale, en plus des soins reçus. Finalement nous avons traversé ces épreuves positivement, notre amour est resté vibrant et s’est même renforcé. J’ai presque l’impression que nous avons guéri d’un cancer ensemble. 

Si je devais donner quelques conseils à un conjoint accompagnant (ou soeur, parent, ami…) :

✅ Faites attention aux mots utilisés. Les mots sont tout. Des armes, des boucliers, des aliments, des médicaments, des émotions… Pas d’attaques, pas de défense, et ce n’est pas le moment d’enseigner quoique ce soit… Oui, prenez simplement le temps d’écouter avec amour et empathie sans forcément chercher à apporter des solutions.

✅ Autorisez-vous à être triste si vous l’êtes, exprimez ce que vous ressentez, soyez authentique dans vos émotions, c’est surtout cela qu’elle attend.

✅ Soyez un soutien positif lorsqu’elle fait ses choix. Que ce soit un choix thérapeutique ou le désir d’adopter de nouvelles habitudes alimentaires qui deviennent, du jour au lendemain, votre quotidien : eh bien….dites oui ! Suivez-la et montrez-lui que vous avez confiance. Son esprit est positif lorsqu’elle met en pratique ce en quoi elle croit, alors, soyez positif, vous aussi, et encouragez-la.

Aujourd’hui ma femme a retrouvé la santé et a choisi de développer ce blog pour aider les femmes confrontées au cancer à devenir actrices de leur guérison. Elle fait un travail énorme, je la trouve extraordinaire… même si elle travaille trop à mon goût. Je continue aujourd’hui à être là pour elle et à faire de mon mieux pour l’assister dans les taches quotidiennes, l’encourager lorsqu’elle doute et lui montrer que je l’aime et que je crois en elle ❤️

Pascal Prenveille

Je remercie mon mari d’avoir mis tout son coeur dans ce témoignage et je suis très émue de pouvoir lire son ressenti. Je me rends compte que durant toute cette période, tout le monde s’est essentiellement focalisé sur moi, la « malade ». En réalité je pense que c’est peut-être encore plus dur pour les proches (conjoint, parents, enfants) car, malgré toute l’aide et l’amour qu’ils nous apportent, la guérison échappe totalement à leur contrôle. Et c’est bien souvent seuls qu’ils doivent faire face à leurs angoisses et leurs doutes. Mon mari a tout fait pour rester « fort » et formidable, et j’éprouve une immense gratitude pour sa présence à mes côtés et pour son amour qui ont joué le rôle le plus important dans ma guérison ❤️

Articles·Témoignages de guérison

10 ans après son cancer du sein, Françoise partage son expérience

Bonjour Françoise, pouvez-vous vous présenter brièvement ?

J’ai 59 ans, trois enfants et j’exerce à la fois le métier d’éducatrice spécialisée, de psychothérapeute et d’aromathérapeute. Bref une vie dense avec comme loisirs la biodanza, la nage et la marche a pied, mes genoux ne me permettant actuellement plus de courir comme je le faisais durant la période où j’étais malade.

Pouvez-vous nous dire dans quelles circonstances vous avez été diagnostiquée et ce que vous avez ressenti ?

Il y a 10 ans on m’a diagnostiqué un cancer au sein suite à une mammographie. J’avais une boule que je sentais à la palpation. Même si je me doutais de quelque chose ça a été un effondrement. Un véritable raz de marée.

Après un mois d’arrêt quand j’ai appris la nouvelle de la maladie, j’ai continué à travailler à plein temps pendant quatre mois, ne m’interrompant que pour les traitements. J’ai pu ensuite passer à mi-temps thérapeutique. Cette année fut rude : savoir rester centrée sur soi, ne pas écouter certaines personnes qui ne veulent que votre bien mais ne vivent pas ce que vous vivez. L’amitié est un bon refuge, le mari fait au mieux mais il a ses propres peurs et les enfants sont témoins et on veut les protéger tout en essayant de rester mère !!!!!

Quel protocole la médecine officielle vous-a-t-elle proposé ? 

Je suis allée voir trois gynécologues dans mon département (les Alpes Maritimes) qui m’ont tous proposé une ablation car j’avais quatre foyers sur le même sein dont deux de stade 3.  L’ablation signifiait pour moi la perte de ma féminité si difficile à acquérir.

Quels choix thérapeutiques avez-vous effectués ?

Je suis allée sur Montpellier où j’ai vu un cancérologue très réputé qui a pris le temps d’échanger avec moi pour me comprendre. Il n’a pas choisi la solution de facilité, il a entendu la patiente que j’étais et non le cas X… et m’a proposé de faire une chimiothérapie néo-adjuvante qui pouvait permettre de faire diminuer la taille des métastases, suivie d’une intervention et de rayons.

J’ai accepté son protocole et en parallèle j‘ai travaillé en aromathérapie, j’ai vu tous les mois un médecin sur Nîmes qui faisait de l’énergétique hologrammique (un travail avec des disques de couleur sur des points d’acupuncture) et j’ai effectué des changements de mode de vie :

  • Alimentation crue pendant 1 an, suppression des charcuteries, diminution du sucre et des laitages. 
  • Supplémentation en différentes plantes : PAO, desmodium, glutathion… grâce à un médecin naturopathe des Adrets.
  • Exercice physique : J’ai continué à courir 2 fois par semaine (sauf lendemain de chimio) et la biodanza à mon rythme, seul endroit où je pouvais danser tête nue sans remarque et avec un soutien très bienveillant.
  • Travail personnel pour comprendre pourquoi j’en étais arrivée là :  sophrologie et aussi dialogue avec les cellules (vidéo de Guy Corneau).

Quels ont été les résultats obtenus ? 

J’ai pu me respecter et je n’ai pas eu de mastectomie. Chaque cas est diffèrent mais il s’agit de votre corps, celui que vous allez continuer à habiter pour le reste de votre vie. 

Depuis combien de temps êtes-vous en rémission ?

Cela fait 10 ans. Ma tête a voulu oublier ces moments d’effondrement, mon corps avec ses cicatrices et ses dissymétries me rappelle cette épreuve. 

En quoi cette épreuve a-t-elle eu un impact positif sur votre existence ?

Cette maladie m’a fait comprendre l’importance de penser un peu plus à mon bien-être personnel, de retourner plus souvent dans la nature me ressourcer, de mettre le curseur sur pause plus souvent et me permet de soutenir les personnes dans cette situation en tant que thérapeute mais aussi ex patiente.

👉 Mon site cheminsdesoi.com

Quel(s) conseil(s) donneriez-vous à une personne actuellement confrontée au cancer ?

Il me semble important de prendre plusieurs avis. Vous êtes une personne, on doit prendre le temps de tout vous expliquer et vous devez pouvoir poser les questions et réfléchir : qu’est-ce qui est important pour vous, quelle image de la femme avez-vous ????

Prenez du temps pour vous alors que peut être jusqu’à la maladie vous avez fait passer les autres avant vous !! Fuyez les gens qui vous abreuvent de conseils alors qu’ils ne peuvent pas imaginer le raz de marée qui est en vous. Préférez la présence de personnes qui vous écoutent sans s’immiscer et sachez dire non quand ce n’est pas juste pour vous.

Prenez grand soin de vous. Tout ce qui vous fait plaisir ne doit pas être oublié : les ballades dans la nature, au bord de la mer, tout ce dont vous avez envie, et parfois juste de ne rien faire car le corps est out : accordez-vous le droit d’être la personne la plus importante à ce moment-là, vous le méritez.

🙏 Merci Françoise pour ce témoignage sincère, qui révèle que l’épreuve de la « mal-à-dit » est aussi – au-delà des peurs et des douleurs qu’elle implique – une opportunité de retour à soi.  Merci aussi pour un échange téléphonique il y a plusieurs années, qui a contribué à me donner confiance au moment où j’en avais le plus besoin…❤️

🤓  Lorsqu’en 2014 j’ai moi-même été confrontée au choc de l’annonce de mon cancer et du lourd protocole que l’on me proposait (mastectomie, curage ganglionnaire, chimiothérapie, radiothérapie et hormonothérapie pendant 5 ans), j’ai consulté plusieurs praticiens et effectué de nombreuses recherches pour pouvoir faire mes choix thérapeutiques. Mais pour entretenir ma confiance, me fier à mon intuition et sortir de la peur, ce qui m’a été le plus utile ce sont les témoignages de personnes qui étaient passées par là avant moi et avaient retrouvé la santé ! Ce sont ces témoignages (à travers les lectures, les vidéos, les rencontres ou les échanges téléphoniques) qui m’ont aidée à CROIRE en un ailleurs possible et à trouver la force de traverser les moments les plus durs… et aussi le courage d’assumer la responsabilité de mes propres choix, pour sauver mon sein, mes ganglions lymphatiques, et ne pas suivre d’hormonothérapie. C’est pourquoi aujourd’hui j’ai à coeur de donner la parole à d’autres, pour partager leur témoignage d’espoir sur le blog Mieuxquavant  ❤️

⚠️ Les témoignages de cette rubrique relatent des expériences personnelles. Il s’agit d’interviews réalisées « sur parole » et ne donnant bien évidemment lieu à aucune vérification de données d’ordre médical. C’est la raison pour laquelle je demande aux personnes qui témoignent de fournir une adresse email de contact qui est publiée en fin d’article. Ces témoignages ne doivent aucun cas être pris comme exemple sans un avis et un suivi médical, chaque cas étant différent. Le but de ce blog est de partager des informations et des expériences et surtout de DONNER ESPOIR. Chacun reste bien évidemment responsable de l’interprétation et de l’usage qu’il en fait. Vos témoignages sont les bienvenus.