Et si la guérison n’était finalement que le retour à un « juste » alignement sur sa nature profonde, au service d’un « tout » qui nous dépasse et dans le cadre duquel nous aurions peut-être, chacun, un rôle, une mission – unique – à accomplir…? C’est là ce que mon expérience personnelle de guérison m’engage à croire et que je me propose de partager ici 🙏

Le corps est doté d’une intelligence intrinsèque qui tend spontanément vers la vie, la croissance et la régénération, à condition d’être dans les conditions favorables. Dans la nature, nous voyons bien que l‘épanouissement de l’ensemble prime toujours sur la survie d’un individu donné et que tout ce qui n’est plus nécessaire à cette croissance globale dépérit et finit par s’auto-détruire. Notre corps physique n’échappe pas à ces lois du vivant et finalement, avoir la santé, c’est avant tout avoir l’en-vie 🤗 de vivre, de bouger, d’aimer, de contribuer, de prendre sa place et de servir la vie 🌱
Ma propre expérience de la maladie, et aussi les connaissances acquises au contact des personnes que j’ai accompagnées depuis, m’ont convaincues que le cancer est une maladie de la perte du « sens ». A un moment donné, la personne se trouve dans une impasse, ayant perdu son pourquoi et s’étant probablement trop éloignée de ce qui constitue sa raison d’être sur cette terre. Alors, dans un ultime effort de guérison, le corps fabrique une tumeur, une sorte de signal d’alarme 💢 pour dire sa détresse et l’urgence qu’il y a à se poser les questions essentielles, ces questions qu’en temps « normal » on repousse toujours à plus tard faute de temps, de courage, de disponibilité mentale…

Et puis un jour ce diagnostic tombe comme un couperet : « vous avez un cancer ! » 😱
Fini alors le temps des « oui mais » et des « peut-être » ; l’heure du face-à-face tant redouté avec soi-même à sonné et pour guérir, pas d’autre choix que de transformer sa colère en courage, de puiser en nous les ressources pour affronter nos peurs, nous assouplir, et finalement nous adapter par le changement.
C’est en ce sens que je parle souvent de « cadeau caché » 💝 de la maladie. Pour guérir, nous sommes obligés de nous ouvrir à un questionnement radical de notre mode de vie et de pensée et une fois la santé retrouvée (et même avant !), nous nous apercevons que nous avons gagné une profondeur d’être, une qualité de connexion à soi-même et au vivant que nous n’aurions peut-être jamais pu atteindre sans cette opportunité. 😇
Dans cet article, je me sens prête à partager aujourd’hui un cheminement très intime ; comment, dans les années qui ont précédé le diagnostic de mon cancer, j’avais perdu mon « pourquoi » et puis comment, grâce à la maladie, j’ai finalement découvert ma mission de vie et commencé à vivre de ma passion.
🤓 Comme vous le savez peut-être déjà, je suis enseignante. Toute petite déjà je faisais la classe à mes poupées, à mes camarades de jeu et surtout à mon grand-père, qui acceptait de s’assoir sagement sur son fauteuil, équipé d’un cahier et d’un crayon, pour exécuter avec docilité, patience – et même bonne volonté ! – les consignes que je lui donnais avec autorité, dans une langue qui n’était pas la sienne et dont il peinait à comprendre les accents et les subtilités, ayant dû l’apprendre sur le tard lorsque, à ma naissance, lui et son épouse, ma grand-mère adorée, durent quitter définitivement leur terre natale pour se consacrer désormais aux soins d’une seule et unique personne : la « petite-fille » que j’étais pour eux.
Bien des années plus tard, à l’époque où je suis « tombée » malade – époque que par bonheur mes grands-parents n’ont pas connue 🙏 – j’enseignais l’histoire-géo dans le même collège depuis 15 ans. J’avais toujours beaucoup aimé mon métier, ayant la chance de devoir transmettre deux matières que l’on peut facilement rendre vivantes en variant les supports d’activités et surtout en utilisant une arme très puissante : le récit. Derrière chaque adolescent, aussi rebelle soit-il, se cache toujours un enfant, et c’est une telle joie que de voir les élèves se caler dans leur chaise et cesser leurs gestes compulsifs, au moment où l’attention s’éveille dans leur regard (y compris et surtout chez les plus « difficiles », ceux qui « n’aiment pas l’école »…) dès l’instant où je commence, tout simplement, à raconter. C’est comme une magie qui opère, et pour moi un plaisir subtil que je ne me lassais pas de vivre et de revivre encore. J’aimais l’odeur de la classe, cette salle 116 où j’ai enseigné pendant tant d’années. J’aimais ces petits matins ou j’arrivais un peu en avance pour préparer mes documents et mes outils, au calme, seule avec moi-même, alors que dehors, l’hiver, il faisait encore nuit. Il y eut la naissance de ma fille, le décès de mon grand-père suivi de celui de ma grand-mère, mon mariage, ma fausse-couche… Et toujours la salle 116, ce petit espace à moi, où je pouvais me recentrer et où j’aimais parfois rester enfermée toute seule entre les cours. Cette salle 116 où je pouvais surtout accueillir mes petits élèves et, au-delà des récits historiques, des frises chronologiques et des croquis, éprouver parfois ce sentiment unique et précieux que ma vie pouvait en toucher une autre, que peut-être une parole que j’avais dite, un regard que j’avais posé, pourraient atteindre un autre être et faire naître en lui une petite lueur qui un jour, indépendamment de moi, deviendrait quelque chose, et à son tour aurait le pouvoir d’éveiller d’autres petites lueurs…💫❤️
Tant d’enseignants vivent leur métier dans la souffrance. Je ne connaissais pas cela. Je mentirais si je disait qu’il n’y avait pas parfois des situations délicates à gérer et des moments pénibles, mais tout cela n’était rien face aux instants de grâce que nous vivions quelquefois. Mes élèves étaient ce que je voyais en eux. Je n’avais pas besoin d’élever le ton, de punir ou d’exclure pour obtenir le silence et la concentration. Même les plus pénibles, les ingérables, les spécialistes de l’exclusion de cours, montraient avec moi une autre facette d’eux-mêmes. Je croyais en leur innocence, et ils me le rendaient. Avec chaque élève difficile il y avait une manière de faire particulière, quelque chose qui ne s’apprend pas mais que je faisais juste parce que je sentais que c’était ce qu’il fallait faire. Il y avait ceux avec lesquels l’humour marchait bien, ceux avec lesquels il fallait discuter en tête à tête pour les responsabiliser et leur manifester de la confiance. Il y avait bien sûr aussi les cas les plus difficiles, les gravement blessés par la vie, ceux avec lesquels rien ne marche, qui ne respectent pas les règles, ne comprennent pas l’humour et sont imperméables à la discussion. Avec ceux là il fallait composer. Pour certains, il faut bien le dire, j’ai échoué. Mais pour de nombreux autres, j’ai pu être inspirée. Je me souviens par exemple de Béchir, un élève de 4ème totalement inadapté et ingérable. Personne ne pouvait plus le supporter en classe, il passait une partie de ses journées en permanence, exclu de cours ; un « décrocheur », comme on dit dans le jargon Education nationale. Avec moi, Béchir se tenait tranquille les 20 premières minutes, puis, immanquablement, l’hyper-activité qu’il faisait beaucoup d’efforts pour contenir reprenait le dessus et il commençait alors à se balancer sur sa chaise et à faire des rictus annonciateurs d’une bêtise ou d’une prise de parole intempestive…Ayant perçu le signe, je poursuivais l’explication en cours très naturellement, faisant mine de n’avoir rien observé, et je continuais à marcher tout en parlant dans la classe. Lorsque j’arrivais à son niveau, sans rien changer à mon rythme, je posais simplement la main sur son épaule, avec fermeté et bienveillance, tout en continuant mon travail. La réponse était immédiate ; par ce simple geste d’empathie, Béchir sentait qu’il avait été entendu dans son mal-être (supporter sans broncher un cours auquel il ne comprenait rien) et que je compatissais tout en comptant sur lui pour respecter mon travail et me permettre de poursuivre. Il me souriait alors discrètement et repartait pour 20 nouvelles minutes de retenue supplémentaires…
Et puis un jour, sans que j’aie vraiment vu venir les choses, la magie à cessé d’opérer. Peut-être me suis-je lassée, peut-être mon corps était-il déjà trop fatigué et moins patient…En tous les cas depuis déjà deux ou trois ans avant la découverte de mon cancer, je n’allais plus travailler dans le même état d’esprit. J’étais souvent agacée par le comportement des adolescents, je voyais de plus en plus en eux la bêtise, la grossièreté et le manque d’éducation…et bien sûr tout ceci prenait de l’ampleur dans la « réalité » dont je faisais l’expérience…Je me demandais parfois ce que je faisais dans un milieu où je ne me sentais plus à ma place. Par-dessus tout, les réunions pédagogiques, où l’on soulève éternellement les mêmes questions sans réponses, m’étaient devenues insupportables ; je les voyais comme une totale perte de temps, une entrave à ma liberté et à ma créativité. Je fuyais aussi la plupart de mes collègues, que je trouvais sombres et peu inspirants. Lorsque je descendais à la salle des profs pour la pause, j’évitais les rabat-joie qui passaient leur temps à se plaindre des élèves et du système. A la fin des cours je rangeais rapidement mes affaires pour quitter le collège le plus vite possible et je faisais mine de ne pas voir le visage préoccupé de tel ou tel élève qui traînait devant ma porte, n’osant me déranger franchement, dans l’espoir que j’allais l’inviter à m’entretenir – comme je le faisais « avant » – de ce qui le tourmentait. Je fuyais. J’avais changé. En cours je me surprenais à monter le ton, à dire des choses blessantes, à m’énerver…Bref, j’avais perdu la foi 😢 Voilà l’état d’esprit dans lequel je me trouvais lors de l’annonce de mon cancer. Même mes cours n’étaient plus préparés avec le même soin. Je vivais sur mes acquis et désormais je devais plus le calme que j’arrivais encore à obtenir dans ma classe à une réputation déjà acquise et établie, qu’à mon investissement réel, qui quant à lui devenait de plus en plus léger.
Combien de temps cela allait-il pouvoir encore durer ? J’en voulais à mon travail, à mes élèves, à la terre entière, mais je ne faisais rien pour changer… Je subissais ma vie. Il était urgent que quelque chose se produise enfin et me libère. Ce fût un vendredi, pendant la pause du déjeuner. Mon mari et moi avions rendez-vous pour recevoir les résultats d’une biopsie réalisée quelques jours plus tôt, pour déterminer la nature d’une dureté inhabituelle que j’avais détectée dans mon sein droit. « Rien d’inquiétant » m’avait-on dit…mais tout de même, par précaution, mieux valait vérifier…Ce jour-là, avant de quitter la classe, j’ai préparé comme d’habitude sur mon bureau les documents dont j’aurais besoin pour les cours de l’après-midi, j’ai mis mon sac à main sur l’épaule et je suis sortie en fermant à clef la porte de la salle 116, sans savoir que je venais de faire ce geste pour la dernière fois….
Si vous lisez ce blog vous connaissez la suite… le choc de l’annonce bien sûr, cette tumeur importante dans le sein, les opérations, les traitements lourds qui devaient suivre, puis toutes les recherches et les moyens mis en place pour revenir vers la santé : l’alimentation, le sport, la méditation, la visualisation positive, la loi de l’attraction, les jus de légumes, etc.
Parmi tous les merveilleux outils qui ont contribué à me sauver la vie et m’ont certainement permis d’éviter une partie des mutilations et des traitements initialement prévus, il y eut la découverte, très importante pour moi, de la philosophie japonaise de l’ikigai. Ce mot désigne en japonais la raison de vivre, ce qui donne un sens à la vie et suscite l’« en-vie » de se lever chaque matin (exactement ce que j’avais perdu ! 😯 ). En gros, « avoir l’ikigai », pour les Japonnais, c’est avoir la patate ! C’est en m’intéressant au mode de vie des habitants d’Okinawa, un archipel situé à l’extrême sud du Japon, dans la région de Kyushu, connus pour une santé et une longévité exceptionnelle, que je suis tombée pour la première fois sur ce concept d’ikigai et j’ai tout de suite eu envie d’en apprendre davantage. Cela signifiait-il que je pouvais, moi aussi, mettre ma vie au service de quelque chose qui m’inspire et me fait vibrer au point d’informer toutes mes cellules qu’elles devaient se re-mobiliser et se mettre au travail car ma vie valait la peine d’être vécue ? Et si en plus je pouvais en faire une activité professionnelle…Trop bien !!! 😋 Je me sentais déjà pleine de vie et d’enthousiasme à cette idée…🤗
« Tout se passe comme si les cellules immunitaires se mobilisaient d’autant mieux qu’elles sont au service d’une vie qui vaut objectivement mieux la peine d’être vécue. » Dr David Servan Schreiber
L’ikigai – représenté ici sous la forme d’un diagramme de Venn – peut se définir comme une sorte de joyeux point d’équilibre situé à la confluence de 4 sphères :

- Ce que l’on aime faire et qui nous fait vibrer
- Ce pour quoi nous sommes doué(e)s, compétent(e)s
- Ce qui est utile au monde, contribue à l’harmonie d’ensemble
- Ce qui nous permet de gagner notre vie
Vraiment cette approche me fascinait ! 🌟 A quoi bon guérir si cette santé retrouvée, je ne la mettais pas au service de quelque chose qui m’englobe et me dépasse ? Pour vivre je devais servir à quelque chose, être utile et il était hors de question de reprendre mon activité d’enseignante dans les mêmes conditions si je ne voulais pas que les mêmes causes finissent par produire les mêmes effets…Par rapport au modèle de l’ikigai, je me situais au niveau de la « profession » (rémunérée pour quelque chose que je savais faire) mais je n’aimais plus vraiment ce que je faisais parce que je n’arrivais plus à y donner du sens.
Grâce à ce cancer, j’avais découvert des outils tellement puissants et merveilleux 🔑 qu’il était désormais de mon devoir de les transmettre, de les modéliser, les rendre clairs et accessibles, car le monde en avait plus que jamais besoin ; envisagée autrement ma profession pouvait prendre la forme d’une « vocation » et même d’une « mission » que je pourrais accomplir avec « passion » ! L’intérêt pour le passé (prof d’histoire) avait correspondu à une phase importante de ma vie, mais c’était désormais le « pouvoir du moment présent » , pour reprendre le titre du célèbre ouvrage d’Eckhart Tolle, que j’avais à coeur de pouvoir enseigner à mes élèves. Enseigner, écrire, expliquer, je savais faire… Restait à trouver un cadre approprié pour vivre de ma passion et exercer ce que je percevais désormais comme ma mission :
Voir la lumière en chacun et l’encourager à se révéler.
Dans ce monde je suis là pour transmettre, enseigner, éclairer, émettre, encourager, aligner, orienter, harmoniser… Une sorte de petite antenne relais au service de l’intelligence du vivant 😂…et puisque dans notre monde il faut bien nommer, réduire, définir ; voici la moins mauvaise façon dont j’ai finalement réussi (non sans peine et grâce à un protocole que j’ai élaboré) à formuler ce qui peut-être ma contribution :
Je suis une activatrice de potentiel 🌟 ❤️
Une fois identifiée ma mission d’âme, restait à déterminer dans quel cadre je pouvais la transformer en profession, c’est à dire trouver des moyens de gagner ma vie tout en faisant ce qui me fait vibrer, ce pour quoi je suis douée et dont le monde a besoin. A ce stade, la loi de l’attraction, sujet que j’ai abordé dans un précédent article, m’a beaucoup aidée pour passer du « rêve » à la réalisation…😉 Deux ans après le diagnostic de mon cancer, après une longue et riche période de retraite introspective, je me suis sentie prête à « contribuer » de nouveau au monde et à essayer d’accomplir ma mission à travers diverses activités dont voici les principales :
Les séances de coaching : J’ai commencé par approfondir les compétences acquises dans l’enseignement en me formant aux techniques du coaching. J’ai construit ma propre formation en lisant les meilleurs ouvrages et en cherchant à découvrir les meilleurs experts des outils les plus efficaces : neurosciences, thérapies cognitives et comportementales, PNL, Communication non violente, loi de l’attraction, physique quantique, neurosciences, etc. A mesure que ma vie se transformait et que j’obtenais des résultats, le service que j’étais à même de proposer s’enrichissait (et continue de s’enrichir au moment où j’écris ces lignes). Après avoir commencé par offrir gratuitement mes premiers programmes de coaching à des proches, j’ai finalement lancé mon auto-entreprise, Harmonie Coaching®, et j’ai pu accueillir mes premiers clients dans mon cabinet, aménagé dans un espace intégré à mon domicile qui me permet de travailler tout en poursuivant mon propre programme santé quotidien. 😅 Pas de publicité ni de stratégie marketing, j’ai laissé venir les choses en les accueillant comme elles venaient…😇 Encore aujourd’hui, les personnes que j’accompagne me sont simplement adressées par d’anciens clients, des professionnels de la santé ou bien me contactent d’elles-même via mon blog…
L’enseignement : En même temps que l’ouverture du cabinet, j’ai décidé de reprendre mon activité de prof, quelques heures par semaine seulement et en lycée cette fois, pour retrouver le contact de mes élèves dont les années d’arrêt maladie m’avaient permis de mesurer à quel point ils me manquaient. Je les ai ainsi retrouvés « mieux qu’avant », en donnant un sens nouveau au temps que je leur consacre. Désormais, préparer un cours sur la transition démographique ou sur la démocratie athénienne, corriger un paquet de copies, discuter avec un élève ou un parent sont pour moi une opportunité comme une autre d’entrer en relation et d’accomplir ma mission : « Voir la lumière en chacun et l’encourager à se révéler » 😊 Cette manière de voir les choses me rend joyeuse dans l’exercice de mon travail et me permet d’avoir une bien meilleure qualité de « présence » et de disponibilité pour mes élèves.
Le blog : J’ai créé ce blog pour partager les ressources qui m’ont été les plus utiles dans mon parcours de guérison à travers des articles, des vidéos, des références bibliographiques et un Ebook, Mon cancer m’a guérie, que j’offre aux personnes qui s’inscrivent. Même si je ne peux avoir un échange personnalisé avec les lecteurs, le temps que je passe à créer du contenu pour le blog est pour moi une manière importante de témoigner dans l’espoir que peut-être mon travail pourra – et ce, sans même que je le sache – inspirer d’autres personnes pour construire leur propre parcours de retour vers la santé et avancer vers une version toujours plus belle et lumineuse d’elles-mêmes ! 🌟

La plateforme d’auto-coaching : Dans la même dynamique, ma fille et moi avons eu l’idée, lors du premier confinement de 2020, de créer la plateforme d’auto-coaching boost’ton énergie® en faisant appel à des experts des différentes sphères de la santé, du développement personnel et du bien-être pour créer des modules de grande qualité et accessibles à de nombreuses personnes. Ce projet mère-fille est une aventure formidable autour d’une mission commune : Découvrir les meilleurs outils pour faire décoller la vie des gens et les transmettre. Nous croyons profondément que si nous nous mettons tous à prendre soin de notre santé, de notre environnement proche, de nos relations, si nous osons sortir de notre zone de confort pour accomplir ce qui donne un sens profond à notre existence, si nous retrouvons le chemin du lien et de l’unité avec le vivant, alors nous oeuvrons pour notre propre bonheur et notre bien-être en même temps que pour celui de l’humanité tout entière et de la planète, car tout ce qui est vivant est relié.🌱🌍 Les modules que nous créons, appelés Boosters 🚀, incluent chacun un Livret avec l’essentiel à savoir sur un sujet donné, un Protocole avec ce qu’il faut faire pour profiter des bienfaits et un Défi en ligne (via une application) sur 21 jours pour passer ensemble à l’action ! Le dernier né s’intitule 21 jours pour trouver son ikigai et j’y ai mis tout mon savoir-faire pour partager le protocole de découverte de sa mission de vie, initialement mis au point pour les clients que j’accompagne et désormais accessible librement à tous.
Toutes ces activités m’offrent un cadre professionnel pour exercer ma mission d’activatrice de potentiel, ce qui me permet de me sentir utile et donc vivante ; j’ai l’ikigai en fait ! 🤗 Je suis heureuse et impatiente de me lever le matin pour exprimer ma créativité, mes nouvelles idées, et tout ceci sans pression quant aux « résultats ». Tout est déjà « ok » ici et maintenant 🙌 puisque mon but n’est pas de créer une grande entreprise, d’écrire un best-seller ou de devenir une star des réseaux sociaux, mais simplement de voir la lumière en chacun et de l’encourager à se révéler, chose que j’ai l’opportunité de faire chaque jour, à travers chacune de ces activités (et des nombreuses autres qui s’ajoutent comme l’écriture, l’enregistrement et le montage de vidéos, l’infographie, les conférences, etc.) mais aussi et surtout à travers les petites choses du quotidien : le soin que je mets à décorer ma maison (je suis passionnée de décoration d’intérieur), mes interactions avec les autres, avec la nature, les animaux, etc. C’est sans fin ! Chaque instant nous offre en fait l’opportunité de vivre notre mission au présent et à l’endroit précis où l’on se trouve. Trop de gens passent à côté de leur potentiel parce qu’ils pensent qu’ils ne pourront être utiles, brillants et efficaces qu’une fois un certain but atteint. La philosophie de l’ikigai nous enseigne que le but est en réalité le chemin.
Vous pouvez briller dès maintenant en vous ré-alignant sur votre mission de vie ! 🌟
On rejoint ici le principe de la loi de l’attraction qui invite à inverser le processus avoir – faire – être pour attirer à soi les expériences que l’on souhaite vivre. Par exemple : « Lorsque j’aurai 50 clients par semaine je pourrais aider les autres et être heureuse et épanouie » devient « Je suis heureuse et épanouie (gratitude !) parce que j’ai chaque jour l’opportunité de voir la lumière en chacun et de l’encourager à se révéler, et peu à peu mon activité grandit » 🙌
Belle et lumineuse continuation à vous sur votre chemin de vie ! 🌟
Roxana
Voici le lien pour découvrir votre mission de vie étape par étape avec mon protocole 👇